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Le shibari une pratique japonaise, voisine technique et codée du bondage.
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Le bondage ou comment créer d’autres liens dans le sexe
De façon ludique, érotique ou plus hard, s’attacher avec une lanière de nylon ou des menottes crée assurément du lien dans le sexe. Des pratiquants du bondage nous racontent les plaisirs, pas seulement sexuels, qu’ils en tirent. Avant de parler bondage, il faut souligner que la pratique apporte des plaisirs physiques et psychiques sans nécessairement un passage à l’acte sexuel. Il offre aussi des lieux de rencontre ou de visibilité aux personnes LGBT qui peuvent explorer leur corps, leur genre et leurs limites. En tirant sur la corde, on trouve plusieurs définitions du bondage. Du plus soft au plus hard, c’est avant tout un art sensuel, surtout quand il s’agit de shibari. La pratique japonaise, voisine technique et codée du bondage, est décrite comme sophistiquée. Elle consiste en des cordes entrelacées dans des nœuds qui attachent le corps du ou de la partenaire, qu’on peut ainsi tenir en suspension. Le bondage tout court, ou bondage américain, plus proche des milieux fétichistes, permet de s’attacher avec tout, ou presque : cuir, latex, scotch, menottes… Le terme reprend sa place dans le BDSM (bondage, discipline, domination, soumission) s’il s’accompagne de pratiques sadomasochistes. C’est, pour résumer, le principe d’attacher une autre personne avec des cordes, qui correspond aussi bien à l’art esthétique du shibari qu’à la performance physique du BDSM. Bonder chez soi ou en backroom Alain, 57 ans, qui dans sa vie de bondeur fréquente régulièrement trois “soumis”, en donne une définition précise, qu’il dicte doctement : “Un art d’attacher, de ligoter, contraindre ou priver de ses mouvements son partenaire à l’aide de cordes, mais aussi de liens divers et variés.” Adrien Czuser, doctorant en anthropologie à l’université Côte d’Azur, a étudié une communauté BDSM du Grand-Est français dans laquelle on trouve une majorité de personnes LGBT. Il explique que “dans les représentations locales, le bondage est plus lié à la sexualité génitale que le shibari.” Illustrant cette différence par le fait que “les cordes utilisées dans le bondage américain sont plus souvent des cordes en coton, facilement lavables où on peut nettoyer les fluides corporels.” Les pratiquants se rencontrent de bien des manières. Les réseaux sociaux et applications de rencontre, comme partout, tissent des liens. “J’utilise des sites de rencontre, Recon essentiellement”, explique Alain, pour amener ses invités dans sa “salle de jeu” toute équipée à Clermont-Ferrand. Ces applications ont évidemment facilité ses rencontres : “Quand j’ai commencé à 22 ans, le moyen de rencontre c’était Gay Pied Hebdo. Après il y a eu le minitel, où j’ai dépensé des salaires entiers”. Les encordages peuvent aussi se faire dans des lieux dédiés - quand ils sont ouverts. Parmi lesquels, à Paris, la Mine qui est aujourd’hui définitivement fermée, le Dépôt ou encore le Keller. Robin, 25 ans, se remémore : “Avant le Covid il y avait des soirées, des lieux gays BDSM dans le Marais et une vie associative fétiche.” Le bondage gay plus assumé. Le bondage stricto sensu, proche du milieu fétichiste, a apporté “une forme de visibilité plus importante à travers les marches, les gay pride”, souligne Alain, fervent pratiquant depuis plus de trente ans. Une spécificité de la pratique chez les personnes LGBT, c’est d'être plus assumée : “Il n’y a pas la même portée publique chez les hétéros, où l'on reste chez soi . Ce qui n’est pas vrai chez les gays : il y a des événements publics, plus d'associations, de lieux dédiés… Par exemple le Paris Fetish Event. Surtout à Berlin, où on peut voir des hommes attachés dans la rue.” La pratique se démocratise, selon Alain, qui en veut pour preuve le nombre de boutiques dédiées au BDSM : Rex, IEM ou encore Mister B. Des pratiquants très queer fédèrent, comme Misungui, performeuse dominatrice et pratiquante reconnue du shibari. Dans des lieux queer comme la Corderie à Marseille, le bondage - ou plus spécifiquement le shibari dans ce cas - est un espace d’exploration des genres, des corps et du consentement. Jess 39 ans, y trouve un espace d’acceptation et de tolérance : “Quand on commence une session de cours on dit chacun les pronoms qu’on veut utiliser”. Elle décrit qu’à la Corderie, “il y a beaucoup de personnes LGBT, beaucoup de personnes non-binaires”, sinon “des hétéros assez fluides”. Adrien Czuser constate en effet “un gros boom en France clair et net des clubs de shibari qui s’ouvrent à droite à gauche”, ajoutant que “le terme de shibari s’est imposé de plus en plus” pour qualifier le bondage de manière générale. "C’est beaucoup d'entraînement et de travail" L’expérience peut s’accompagner de toute une panoplie, composée de “menottes en cuir ou en acier, camisole de force, carcan, ruban, ceinture, chaîne en métal, pince à linge, baguette, fouets, bougies, bandeaux, boules, pierres accrochées pour ajouter du poids”, énumère Alain. “Il n’y a pas de règle, pas de modèle de construction d’une séance, ça dépend du partenaire en face de vous”, précise-t-il, soulignant que “les bras en croix sur un lit, ce n’est pas du bondage mais de la baise sauvage”. "Il n’y a pas que le fait d’attacher. Il y a une technique. Il faut prendre des cours, s’exercer, c’est beaucoup d'entraînement et de travail”, confirme Jess. Dans sa version la plus hard, le bondage devient ou redevient un élément du jeu SM, comme avec Robin qui s’amuse à subir ou faire subir aux hommes qu’il rencontre des “jeux uros, électro, CBT (torture au niveau des testicules), tétons” et assume “subir les tortures”. Du sexe mais pas seulement. Le bondage est-il une pratique sexuelle ? “Ce qui m’intéresse, c’est qu’il prenne son pied physiquement et pas sexuellement”, précise Kevin, 34 ans, à propos de ses partenaires masculins. “Ce n’est pas nécessairement sexuel. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’influx sexuel, précise Alain. Je trouve des partenaires uniquement intéressés par le fait d'être attachés car cela procure des sensations d’une extrême sensualité, de l’ordre de la pulsion sexuelle.” Parfois, selon lui, “ça met l’autre dans une forme d’attente purement sexuelle. Ensuite, vous répondez ou pas. Vous n’êtes pas obligés de lui donner ce dont il a envie…” Pour faire comprendre son point de vue sur la question, Florian, pratiquant du shibari, le compare au tango : “Tu peux faire un truc de couple mais tu peux aussi en faire avec ta mère. C’est rarement sexuel pour moi.” Kevin considère de son côté que “la pratique sexuelle est une exception dans le bondage. Quand je me fais attacher, il n’y a jamais d’acte sexuel.” A chacun de décider ce qu’on en fait une fois à la maison. “Je ne l’utilise pas dans la vie privée, parce que ma femme n’aime pas ça, mais comme sport”, rit Jess. "Ça permet d’avoir une activité vécue comme sexuelle sans mobiliser les organes génitaux” Dans ce cas, au fond, qu’est-ce qu’on cherche ? Un entre-deux permanent, où le rapport à l’autre et aux corps se dénouent, des stimulations physiques qui ne se concentrent plus sur les parties génitales. Adrien Czuser rapporte à ce sujet que “ces dernières années ou décennies, on observe une dissociation dans le shibari entre l’activité sexuelle et la sexualité génitale.” Il observe d’ailleurs que le shibari est “un peu plus souvent utilisé par des personnes trans ou genderqueer, puisque ça permet d’avoir une activité vécue comme sexuelle sans mobiliser les organes génitaux.” Une forme de sexualité qui devient dès lors moins oppressante, pour celles et ceux qui en ressentent le besoin. Dans ce cas, de quelles sensations physiques parle-t-on ? "Quand on est dans les cordes, ça procure des sensations très fortes à cause de la pression, de la douleur”, décrit Kevin, ajoutant qu’on peut “utiliser beaucoup de jeux sensoriels”, aussi bien la “douleur que des chatouilles, des effleurements.” Pour Jess c’est simple : “La recherche c’est le plaisir, les endorphines, perdre le contrôle, lâcher prise.” Ce terme de lâcher-prise revient souvent dans la bouche des intéressés. Quand elle est attachée, Cyan peut “juste s’abandonner, travailler autour des sensations, des émotions, être en lien avec soi-même". Que de noeuds. Le but est de se dépatouiller dans la “gestion de corde et de flux de corde : garder la tension et toujours réfléchir à ce qu’on peut faire pour donner du plaisir à la personne”, développe Jess. Chacun évidemment a ses préférences. Pour elle, c’est le nœud TK, un harnais de buste, sinon le nœud Futomomo. Alain mentionne le Hog Tie, dans lequel on relie les pieds aux mains, la personne se trouvant à plat ventre ou à genoux. "Ça immobilise complètement la personne. Puis on se sert de sa bouche ou on ne s'en sert pas. Je trouve que c’est la forme la plus aboutie, la plus sensuelle du bondage.” L’aspect esthétique des cordages est constitutif de tout bondage optimal. Kevin relève : “Dans mon téléphone, il y a plus de photos de fétiche que de réel. Moi ce que je cherche quand je le fais, c’est quelque chose de joli, mettre en valeur ce que je suis en train de faire, tout en mettant en confiance la personne.” "Le shibari peut être résumé à une forme d’interview, sauf que tu poses les questions à travers les cordes et des contraintes". A l’autre bout de la corde, justement, quels plaisirs ressent-on quand on attache l’autre ? “Je me sens protecteur, le mot le plus important pour moi”, confie Alain vis-à-vis de ses “soumis”. “Il y a un transfert qui se fait : c’est l'échange de pouvoir. Le dominé transfère au dominant le pouvoir d’avoir la maîtrise sur lui.” Selon son expérience, le choix du rôle “est le complément de ce que vous êtes dans votre vie : si vous êtes un mâle dominant, vous aurez envie de vous soumettre, parce que vous avez envie qu’on prenne soin de vous.” Plus pacifiquement, Florian considère que “la corde est un médium entre toi et l’autre, le shibari une performance de la relation à l’autre.” Un plaisir qui dépend aussi du câblage neuronal : “Le shibari peut être résumé à une forme d’interview, sauf que tu poses les questions à travers les cordes et des contraintes. Ça peut se résumer à la question : est-ce que ça te plaît ? Donc si tu ne fais que poser des questions sans écouter les réponses, c’est un monologue.” Là où les rapports de domination et de soumission sont souvent explicites, la pratique du bondage incite ses pratiquants à se positionner sur le rôle qu’ils souhaitent prendre. Dans ses premiers moments de pratique, Cyan, qui est agenre, avait observé des “rapports hétéronormés trop classiques : des mecs qui attachaient des femmes toutes petites et très minces, alors que moi j’étais plutôt forte. Je me sens pas non plus femme spécialement. Ça m'a permis de questionner mon genre. Et pourtant, j’y allais avec mon compagnon qui est masculin. Petit à petit, avec les nouveaux gens arrivés dans cette école, ça a évolué.” Anatomie et précautions. Des plaisirs physiques, esthétiques, psychiques, sans forcément de plaisir sexuel tout en restant dans un rapport forcément charnel qui frise le sensuel, voire l’érotique. C’est là l'ambiguïté du bondage : un entre-deux corps. Ce prudent éloignement de la sexualité invite même à explorer des rapports avec des personnes par lesquelles on n’est pas nécessairement attiré. Alain se souvient : “Un jour une femme ma dit ‘je veux que tu m’attaches’. Ça s'est vachement bien passé. Même si au début, j’étais empoté : je ne savais pas quoi faire des seins.” Jess abonde : “Je peux être sensuelle avec un homme alors que ce n'est pas forcément mon attirance.” Hors de question pour Robin, en revanche : “Je ne touche pas une nana, moi, non non.” “On ne laisse jamais son soumis seul attaché, on ne dépasse pas le temps qu’on a décidé" Quelle que soit leur orientation, les pratiquants assidus du bondage deviennent de fins connaisseurs de l’anatomie, à laquelle il faut être plus qu’attentif afin de donner du plaisir sans blesser. Comme zone risquée, Jess mentionne “le nerf radial au niveau des poignets : si vous faites une compression trop longtemps, on peut perdre la sensibilité de la main.” A un autre endroit, “au niveau de l’épaule là où on fait les vaccins, un nerf passe : si on le comprime trop, on peut perdre la mobilité du bras entier.” Des accidents continuent d’arriver dans le milieu du bondage. Pour éviter les drames, plusieurs règles élémentaires. “Toujours avoir un ciseau coupe-corde avec soi”, rappelle d'abord Jess. “On ne se drogue pas, on ne boit pas, il faut être en plein capacité”, ajoute Alain, et “ne pas trop serrer la corde autour du cou. On ne fait pas n’importe quoi avec les articulations, la jugulaire, la carotide.” En plus de quoi “on ne laisse jamais son soumis seul attaché, on ne dépasse pas le temps qu’on a décidé de faire ensemble" et bien sûr, on ne le fait qu’entre adultes consentants, en pleine possession des facultés intellectuelles physiques et mentales.” Sans oublier le fameux safe word, mot de sécurité qui permet d’arrêter le jeu instantanément. L'écoute de l'autre est primordiale et un apprentissage patient en présence de connaisseurs est plus que conseillé. Pédagogie du bondage. C'est là un point nodal du bondage : ses pratiquants le présentent comme un moment d’apprentissage du consentement et de la communication entre partenaires. “Une super école du consentement, résume Florian, sujet phare et capital dans le shibari”. Andrien Czuser relève “un truc courant dans le BDSM et le bondage : le fait de revenir sur la séance quand elle est terminée, dans une forme de débriefing.” Le chercheur invite toutefois à ne pas prendre pour acquis ces bonnes volontés et à rester vigilant, rappelant que la contractualisation avant la séance n’est “pas si explicite et pas si nette ou exhaustive que beaucoup de personnes voudraient le faire croire”. En clair, on ne fait pas une “liste de courses” mais “on va tracer le cadre tout en sachant que ce sont des limites connues ou supposées, sans compter celles qu’on découvre sur le moment. Il y a les soft limit et les hard limit.” “Même en tant que connaisseur du BDSM, on ne sait pas forcément quelles sont nos limites" Kevin a en tête un souvenir qui l’a marqué négativement : “J'ai demandé beaucoup trop de choses, je voulais être attaché avec de la corde, avoir par-dessus un sac de couchage, être bâillonné et suspendu à la verticale. Le gars m’a dit ‘je dois partir faire une course’. Au bout de trois minutes, j’ai fait un malaise de panique. Il est revenu 30 minutes après ! J’étais quasiment dans les vapes, trempé.” Adrien Czuser insiste : “Même en tant que connaisseur du BDSM, on ne sait pas forcément quelles sont nos limites, on les découvre sur le moment, parfois dans un état où on n'est pas sûr de pouvoir les exprimer.” Astuce à destination de ceux qui s’attachent à la pratique : être un bon bondeur, c’est déjà avoir été bondé. “Il est indispensable de savoir se faire attacher car ça permet d’apprendre le ressenti des cordes sur le corps ou le serrage. Ça permet de ne pas reproduire des conneries après”, développe Alain, qui retrace son parcours : “J’ai pratiqué en me faisant attacher en premier, pendant très longtemps. Pendant une période j’ai été formé chez un mec qui pratiquait ce genre de choses et au fur et à mesure du temps, j’ai pris le dessus.” Comme quoi dans le bondage, on n’est toujours pas pieds et poings liés.
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Comment je me suis découvert fétichiste
TÊTU est allé à la rencontres des fétichistes, et interroge ces pratiques, trop souvent - et à tort - mal considérées. Mais pour explorer cet aspect de sa sexualité, il faut un point de départ. Des hommes nous racontent comment ils ont découvert leur fétish. Il y a une infinité de fétiches et presque autant de fétichistes. Avec pour chacun de ces hommes une façon de découvrir leur sexualité où la matière est devenue déterminante pour leur excitation. Selon les âges et les générations, on n’entre pas dans le fétichisme de la même manière. A cinquante ans on a connu plus souvent la solitude, à 20 ans les applications. Le cuir se porte en public plus facilement que la cagoule. On peut le découvrir en tombant amoureux ou quitter un homme pour le vivre pleinement. Fabien, un divorce pour être bien dans ses baskets. Le jeune quadragénaire se souvient du corps des gymnastes de son âge quand il était au collège. L’odeur des vestiaires l’excitait déjà. “Je trouvais que c’était plus sexy un mec en shorts de foot, en jogging, en baskets, en chaussettes.” Des souvenirs qui remontent à la 6ème, quand il était en sport-études. A 43 ans, Fabien se révélait déjà ce qu’on appelle aujourd’hui un kiffeur. Le terme désigne les fétichistes des vêtements et baskets de sport, et bien souvent de leurs odeurs, qui exhalent les ébats. Pour lui, l’érotisme est une lame de fond qui traverse le fétichisme. “Je suis aussi naturiste, j’ai été élevé là-dedans. Donc pour moi au départ, un corps nu n’est pas sexuel. Dès qu’il est un petit peu recouvert par un slip, un maillot de bain, un short qui laisse deviner et apparaître, qui cache mais qui révèle en même temps, ça fait marcher la machine à fantasmes”. Submergé par les émotions et l’angoisse, dépassé par ses désirs dès ses douze ans, il a finalement préféré quitter le sport-études. Il lui faudra attendre plus de dix ans pour vivre consciemment sa première relation sexuelle autour du vêtement de sport. “Avec un amant, le jeu c’était de se voir en slip, en jogging, en maillot de bain. D’ailleurs à cette époque-là j’ai fait mes premières photos en maillot de bain. A l’époque, c’était encore plus de niche que maintenant.” Le sport et ses vêtements ne quitteront plus la vie sexuelle de Fabien. Il faudra encore attendre dix années supplémentaires pour mettre là-dessus le terme de fétichiste. Apparu plus clairement après ce qu’il appelle son “divorce”, une séparation après une longue relation avec un homme auprès duquel il ne pouvait pas vivre pleinement son fétichisme : “Quand j’ai divorcé avec mon mec, j’ai eu l’envie débordante d’assumer cette envie là, de la vivre totalement. D’ailleurs c’est ce que j’ai fait : 8 mois plus tard, je me suis trouvé un mec avec qui ce qu’on a vécu en l’espace de 6 mois m’a plus fait vibrer sexuellement qu'en sept ans de vie commune avec mon ex.” A LIRE AUSSI : Non, le puppy play n’est pas du tout ce que vous croyez Laurent, le cuir comme seconde peau. A 16 ans, le perfecto en cuir de Laurent lui collait déjà à la peau. “Je suis musicien, donc ça a commencé par la musique, le rock.” A cet âge, il avait encore des relations hétérosexuelles. Dans le milieu de la musique, il découvre plus tard les hommes : “Je me suis fait draguer par un mec, j'ai trouvé ça très excitant. Quand je suis passé à l’acte, je ne me suis plus considéré ni comme hétéro ni comme bi.” Son cuir toujours plaqué sur le dos se chargera de lui révéler le reste, et peut-être de provoquer qui sait, son fétichisme. Dans “les lieux extérieurs, les lieux de drague de l’époque, le cuir faisait la sélection. Ça joue sur ton aspect, ce que tu dégages physiquement. Soit tu fais peur soit tu attires, ça sélectionne.” C’est bien les amateurs de cuir qu’il attirait. “Est-ce que c’est le cuir qui m’excitait de le porter, ou est-ce que j’étais excité de le porter parce que ça excitait d’autres personnes qui me correspondaient ?”, se questionne encore le désormais quinquagénaire. Cette matière lui a toujours donné une image charismatique selon lui, qui exacerbe sa virilité. A presque trente ans, dans les années 1990, il entre au Lyon Motor Club Rhône Alpes. A Lyon, le Forum et le Motormen, lieux de rencontre fétichistes, feront partie de ses lieux de prédilection. Il fait ses rencontres là-bas et ses amitiés se structurent progressivement autour de cette matière. Il n’y avait dès lors plus de retour en arrière possible, il ne peut plus faire sans. “Du coup, maintenant sexuellement je ne baiserais pas sans cuir ou à poil parce que ce serait pour moi un grand retour en arrière, quand j’avais 16 ans.” Se disait-il déjà fétichiste il y a trente ans ? “Aujourd'hui les gamins à 17 ans, ils savent ce que c’est que le fétichisme. 30 ans en arrière, il fallait relever les manches, aller pousser des portes pour rencontrer des gens. Quand je rencontrais des gens je ne mettais pas forcément le mot “fétichisme”. Avec le recul, oui, j’ai vraiment mis le mot dessus à 30 ans” Tweak, entre chien et loup “Le puppy play c’est compliqué à définir. Pour moi c’est un jeu de rôle en soi. Sexuel ou pas sexuel, érotique ou pas érotique, ca dépend de la relation avec la personne.” La pratique consiste à se déguiser en chien, avec des masques dédiés, le tout en se parant d’habits, combinaisons ou accessoires en diverses matières : latex, cuir, néoprène, etc. Pendant des jeux de rôle, souvent entre un maître et son chien, les participants mangent dans une gamelle, jouent à la balle, ou se “font des papouilles”. Le tout agrémenté selon le moment, de rapports sexuels. Lorsqu’ils se sont rencontrés, Tweak [son nom de Puppy], 21 ans, et sont copain ont démarrée leur relation avec des rapports sexuels “classiques”. Avant que son nouvel amour ne lui parle avec obstination du Puppy Play. Quotidiennement, pendant quelques mois il lui explique en quoi tout ça consiste. Jusqu’à ce que Tweak se laisse tenter, d’abord par curiosité. “Au début, ça me faisait rigoler et puis après je me suis pris au jeu. C’est devenu mon puppy.” Les gestes d’abord hésitants ont laissé place à une connaissance fine des jeux de domination qui parsèment le puppy play. “Petit à petit j’ai commencé à acheter mes accessoires fétiche”. Ses premiers ébats dans la peau d’un chiot se faisaient en combinaison de lutteurs. Il compte bientôt s’acheter une tenue en latex. Pour lui ces matières “c’est tout doux. Malgré le fait que tu aies un vêtement sur toi, tu vois bien les formes de l’autre personne ou tes formes à toi.” En creusant un peu, Tweak confie qu’il avait rencontré le fétichisme des années plus tôt, avec une attirance pour les couches. “Au début je me demandais vraiment si j’étais normal, si j’avais pas un problème : ‘est-ce que j’ai pas un problème mental, est-ce que je suis pas complètement barge?’ Donc j’ai été voir un psy. On m’a dit que ça peut arriver à tout le monde. Avec du travail sur soi-même et de l’acceptation j’ai fini par me dire que je suis comme ça, et puis tant pis.” Des rencontres en ligne avaient en même temps fait comprendre qu’il n’était pas seul à avoir ces désirs. Il ne donnera pas son nom pour cet article : “J’aimerais éviter que mes parents tombent dessus, ils ne sont pas au courant du tout.” Jayson, de réseau en héros. Sur Facebook il y a quatre ans, son futur copain demande Jayson en ami. Le profil du dragueur est semé de photos sur lesquelles il se montre en latex. Pas de quoi faire peur au jeune homme qui connaît déjà bien le caoutchouc grâce à ses études de mode. A 24 ans, Jayson était déjà attiré par la matière, le toucher, les textiles modernes. Sa première fois avec un homme se fera avec le séducteur de ces réseaux. Le tout en latex. “Au fur à mesure que j’apprenais à le connaître, j’ai aussi appris quels étaient ses fétichismes. Il m’a initié dans le milieu fétichiste où je me suis fait des amis.” Le côté froid de la matière l’excite aussitôt. Les événements dédiés s’installent dans son quotidien : la Damage, la Paris Fetish. Aujourd'hui dit-il, “J’ai des amis dans tous les milieux : latex, cuir, sportswear, puppy.” Dans la rue ou dans les studios dans lesquels il travaille, Jayson qui a désormais 27 ans préfère les accessoires à la combinaison : pantalon, polo, débardeur en latex. Avait-il imaginé s’investir autant dans cette cause ? “Je n’ai pas eu une vie facile, je n’avais pas eu le temps de penser à ça. Ça ne m’est jamais venu à l’esprit qu’un jour j’allais devenir fétichiste.” En shooting ou en tournage, le latex ne le quitte pourtant plus. Pour faire des rencontres et laisser découvrir à d’autres ses goûts, “les réseaux sociaux jouent énormément, surtout Instagram”. Attirés par les lives et les stories, les non-initiés découvrent le fétichisme sur leur smartphone. Des inconnus viennent désormais lui parler sur les réseaux sociaux, motivés à “entrer dans le milieu”. Fifidor, dresser ses envies. Tout a vraiment commencé avec son ex-copine autour de ses vingt ans. Fifidor [nom de Pony], 32 ans bisexuel, avait acheté un Zentaï, une combinaison de lycra qui recouvre le corps. Une révélation. “Des fois des fantasmes, on les réalise et ça nous déçoit. Et là, pour le coup, le fantasme que je réalisais, c’était encore mieux que ce que j’imaginais.” Pour sa copine, ça n’était pas le cas. Après quelques essais, la tenue reste finalement au placard. Pas ses désirs. Il se souvient que “Après ma séparation j’ai mis de l’argent de côté et j’ai acheté une catsuit en latex.” Dès l’adolescence, l’esprit du jeune homme se drapait de tissus variés, dans des fantasmes nourris par les pornos fétichistes. “A l'époque, je ne me l’avouais sans doute pas, ou alors je n’avais pas le vocabulaire ou les notions.” Sa première acquisition agit comme un basculement. Il savait qu’il ne pourrait plus se satisfaire uniquement de relations vanille [relations “classiques” sans fétiche]. Sa première expérience fétichiste avec un homme démarre sur une application de rencontre dédiée aux fétichistes : “C’était il y a 6 ou 7 ans. On s’est retrouvés sur Fetlife autour du latex. Il avait envie de découvrir, là où moi j’avais déjà un peu de matériel et beaucoup d’intérêt.” Depuis, il est devenu fin connaisseur des vertus de chaque matière qu’il convoite. Le cuir pour la restriction et la contrainte. Le latex comme seconde peau, brillant et exhibé. Pour le satin, “c’est le côté doux, c’est le côté cocooning, tranquille, c’est le côté sensuel.” Il a finalement réussi à combiner ses envies dans le Pony Play, variant du Puppy Play fait de jeu de rôles avec un maître et son animal, parfois version soft du BDSM. Tenu en latex, masque, sabot, et queue ont enrichi la panoplie de l’étalon : “on est plus sur le côté fiers, paradeurs, plus dans le show et parfois moins dans le jeu.” Vincent, de fil en aiguille. Quarante ans de fétichisme, doctement étoffés. Vincent, 54 ans, se souvient que du haut de ses 15 ans, il allait “[s]’acheter du tissu en latex au marché. Je coupais un morceau, je le cousais à l’arrière, et je me baladais avec.” Des fantasmes explorés seul pendant des années, sans internet pour se rencontrer, sans marché pour s’approvisionner, sans rencontres pour se nommer. Tôt, les BD de Spiderman l’excitaient. Parmi ses apollons, on comptait catcheurs cagoulés, fantomas, “tous les grands méchants qui portaient une cagoule, qu’on pouvait voir au cinéma ou à la télé”. Depuis l’origine, il aime mettre des collants et des bas sur la tête et tout le corps. Pour ses débuts en latex, ses “premiers fournisseurs étaient des fabricants de combinaisons de spéléologie.” En solo depuis toujours ou presque, il avoue “aller dans des endroits publics de manière discrète, soit des sous-terrains, des garages, aussi dans les forêts et m’exhiber en cagoule, en combinaison”. Au point de finir au commissariat il y a quelques semaines “parce que les gens avaient peur et appelé la police.” Une surenchère qui va crescendo. Il précise toutefois que l’excitation est “purement intellectuelle” et qu’il n’exhibe rien d’autre que ses costumes. A 25 ans, il avait intégré l'association Mecs En Caoutchouc créée en 1994 dont les membres refusent la solitude et se retrouvent pour des rencontres élastiques : "Ça m'a permis de rencontrer sincèrement d’autres personnes et de me dire que je suis pas seul”. En revanche, son compagnon de trente ans n’est pas au courant de cette part de son intimité. "Ça fait 30 ans que je vis une sorte de double-vie exactement comme Spiderman que j’aimais quand j’étais petit.”
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Fourb - Friday 13 June 2025
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Docteur Rennais - Wednesday 11 June 2025
Visite médicale fictive mais réaliste pour sportif ou bien dessiné de corps, possibilité Edging également. Bon scénario excitant… uniquement pour motivé sérieux, je reçois uniquement.
Soumis à la queue - Monday 9 June 2025
Pour plan direct non vénal avec un ou plusieurs hommes dominants bien vicieux qui savent me mettre à ma place.
Je suis soumis à la queue, à utiliser sans modération.
Je peux mettre des bas et de la dentelle mais je ne suis pas trav.
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Les cc cv, et autres messages de quelques mots seront blacklistes direct
Bastienlalope - Saturday 7 June 2025
astienlalope - Samedi 7 Juin 2025
Bonjour Messieurs,
Je recherche un maître (ou plusieurs) pour initiation et dressage suivi afin de le servir en lope slave soumise et offerte.
Je me tiens à votre disposition.
Bien respectueusement,
Bastienlalope - Saturday 7 June 2025
astienlalope - Samedi 7 Juin 2025
Bonjour Monseigneur,
Je recherche un maître pour initiation et dressage suivi afin de le servir en lope slave soumise et offerte.
Je me tiens à votre disposition.
Bien respectueusement,
Bastienlalope - Saturday 7 June 2025
Bonjour Monsieur,
Je recherche un maître pour initiation et dressage suivi afin de le servir en lope slave soumise et offerte.
Je me tiens à votre disposition.
Bien respectueusement,
Bastien l'apprentie lope
Soumis 28 ans - Friday 6 June 2025
Coucou j'ai 28 ans brun mince très passif soumis, j'adore obéir et repousser mes limites.
Dispo sur le tchat en soirée pour jouer avec moi ?
jeux vicieux - Wednesday 4 June 2025
Bonjour je vous lèche et suce la bite le cul les pieds en mode soumission pendant que vous m’insultez, fessez ou me pissez dessus, roule pelle aime mâle vicieux cochon domi
60 ans discret
Propositions d'autres jeux vicieux aussi
Réel discret
lopeatourner - Wednesday 4 June 2025
Lope de 28a, je veux devenir UNE VRAIE LOPE et être utilisé à la chaine. contact chat https://domiaddict.chaturbate.com/lopeatourner/
lopeatourner - Wednesday 4 June 2025
Je veux bien déposer ma candidature, contact sur le chat https://domiaddict.chaturbate.com/lopeatourner/
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