
Jeune domi fraîchement arrivé sur Lyon cherche un soumis à dresser à ma guise. Pas mal de matos donc moyen de s'amuser.
Très souvent, le simple fait d'aimer les plaisirs charnels et sans retenue peut suffire pour être qualifié de "chienne" ou même de "cochonne" pour ceux en quête de sensations extrêmes. Contrairement à la soumission associée au rôle de "kleps", l'univers "pig" propose un échange plus équilibré. Les soirées Pig, surtout en Allemagne, explorent des jeux transgressifs où la débauche est reine, sans aucune restriction, assumant pleinement cette facette de "Pigitude". Ce rôle, bien qu'associé davantage aux passifs, peut aussi se prêter aux actifs, car l'expérience se nourrit du désir partagé. Les soirées Pig-partouze deviennent un espace de liberté absolue où les barrières tombent et chacun peut s'abandonner totalement.
Même les plans les plus simples peuvent se transformer en aventures de plaisir débridé entre pigs. Une sodomie peut évoluer vers un fist, et un nettoyage peut se prolonger jusqu'à des jeux plus audacieux. Le Pig devient alors le symbole de la jouissance sans jugement, un plaisir pur et simple.
Dans cette exploration des fantasmes, le rôle de "poney" trouve aussi sa place, souvent associé à des pratiques SM et plus répandu dans les cercles hétérosexuels, où le cavalier domine la monture. Avec mors, étriers, et accessoires, le "poney" est sous le contrôle total de son cavalier, accomplissant ses désirs avec docilité. Les hennissements, les coups de cravache et la soumission totale transforment le soumis en fier destrier, puissant, discipliné et prêt à plaire.
Que ce soit en tant que chienne, pig ou poney, incarner un animal dans ces jeux de rôle est un abandon total, une soumission consentie et profonde. Bien que chaque rôle implique des gestes et rituels spécifiques, le plaisir réside dans cet abandon mutuel et la satisfaction partagée.
